«Mon arbre » et « Mon bel oranger»

Publié le 20 Octobre 2013

Le premier est un merveilleux album de Séverine Gauthier, Thomas Labourot et Christian Lerolle.

Le second est le livre bouleversant de José Mauro de Vasconcelos.

Il m'était impossible de ne pas parler des deux en même temps. Vous allez très vite comprendre pourquoi.

«Mon arbre » et « Mon bel oranger»«Mon arbre » et « Mon bel oranger»

Tout a donc commencé par la lecture de cette chronique de Caroline que je tiens à remercier chaleureusement de m'avoir permis de faire la connaissance de Zézé.

Puis, le hasard de ma vie de lectrice a fait que le lendemain, Jean-Jacques est revenu de la biblio avec l'album « Mon arbre » déniché dans le rayon jeunesse ( au sein duquel il passe beaucoup de temps en ce moment en raison de la sortie de son prochain livre : « La montagne qui pleure»).

Il m'a simplement dit : « Je crois que ça devrait te plaire ». Ce fut effectivement le cas. Un véritable coup de coeur. Pour l'histoire, pour les dessins, pour le message, pour Petite Pousse, pour son arbre, pour tous les arbres de la Terre. Ce livre est un trésor précieux.

Mais, une page a retenu mon attention plus que les autres. Il s'agit de la page 5.

«Mon arbre » et « Mon bel oranger»

Suite à cet incroyable clin d'oeil, j'ai donc commencé à lire l'histoire de Zézé et de son bel oranger.

Dire que j'ai aimé ce livre n'est pas assez fort.

Dire que ce livre m'a bouleversé n'est pas assez fort.

Vous dire que j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup pleuré en lisant ce livre vous dira peut-être combien il a compté pour moi, combien il m'a touché, combien il a rejoint ces livres que l'on n'oublie jamais.

Je n'ajouterai rien à la chronique de Caroline qui dit tout ce qui doit être dit. Rien sauf peut-être ces quelques mots de Vasconcelos simplement essentiels :

C'est toi qui m'a appris la tendresse de la vie, mon cher Portugâ. Maintenant, c'est à mon tour de distribuer des billes et des images, car sans tendresse la vie n'est pas grand-chose»