Portrait : Lucie du blogue « Clavier bien tempéré»
Publié le 7 Janvier 2014
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Le Québec : un pays, des livres, toujours plus de livres ! Les dernières recrues se retrouvent toutes ici.
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Le blogue de Lucie se trouve ici.
Je l'ai découvert lors de mon exploration de la blogosphère québécoise. Je l'ai beaucoup apprécié (en particulier un billet sur Henry David Thoreau et sur le rythme nécessaire à la lecture de cet auteur). Aussi, j'ai eu envie de dresser le portrait de Lucie qui a très gentiment accepté, malgré la «cruauté» de certaines questions, de satisfaire ma curiosité.
Voici donc Lucie, ses lectures et son blog.
1 - Quel est l'endroit où vous préférez lire ? Pourquoi ?
Je lis essentiellement dans deux lieux: les transports en commun (plus particulièrement le métro, plus propice il me semble à une concentration du lecteur) et mon lit. Bien sûr, parfois, je m’installe aussi dans l’une ou l’autre des chaises confortables de lecture de mon appartement, dans l’angle de mon canapé. Il m’arrive aussi régulièrement de marcher en lisant (mais pas en hiver, les trottoirs sont trop glacés pour le faire).
2 - Quel est votre plus beau souvenir lié à la lecture ? Une personne ?
Un lieu ? une odeur ? Une musique ?
Peut-on choisir un seul souvenir de lecture? J’en doute. Je me rappelle de certains livres, lus dans des conditions particulières, par exemple Les vents contraires d’Olivier Adam, lu en format poche sur le bord de l’Océan Atlantique au New Jersey, qui avait été ramassé par les vagues alors que je l’avais déposé. Le fait qu’il soit maintenant gondolé me rappellera toujours cet instant (et l’odeur du large).
3 - Quel est, selon vous, le meilleur roman québécois qu'il vous a été
donné de lire ?
donné de lire ?
Je lis beaucoup de romans québécois et cette question me semble si cruelle... Peut-on en extraire un seul? J’en doute. Au cours de la dernière année, ce sont deux recueils de poésie québécoise qui m’ont bouleversée plutôt que des romans, Le sol ralentit sous mes pas de Carole Forget et Sans toi, je n'aurais regardé si haut de Denise Desautels.